Journal C'est à dire n°118
Sommaire
Péquignet brade ses modèles. La société horlogère mortuacienne s’est livrée à des ventes “sauvages” de ses produits en court-circuitant directement son réseau de distribution français. Les bijoutiers désapprouvent. (page 4) Artechnic ouvre en Suisse. L’entreprise créée en 1988 aux Fins réagit aux nombreux départs de ses salariés, attirés par la Suisse. Elle a trouvé la parade en créant un site au Locle, en complément de ses locaux des Fins. (page 5) Le bois du Haut-Doubs convoité. Les dernières ventes de bois dans le Haut-Doubs s’inscrivent dans un contexte de nette reprise. Un phénomène nouveau alerte pourtant les scieurs locaux : l’arrivée sur le marché de gros acheteurs en provenance des Vosges ou d’Alsace notamment. (page 8) Non au service périscolaire ! Tout était ficelé entre les quatre communes du plateau de Maîche dans le dossier de garderie périscolaire. Mais la décision du conseil municipal de Trévillers a mis un coup d’arrêt au projet. Le maire de Fessevillers ne cache pas sa colère. (page 21)